Etats et Partis
face au risque de guerre mondiale
...... La question de la guerre et de la paix est
à l'ordre du jour. La rivalité des 2
super-puissances USA et URSS, le surarmement, la
férocité en temps de crise des contradictions
entre les impérialismes: les facteurs de guerre
s'accumulent. Dans 3 régions du monde -l'Afrique, le
Moyen-Orient, le sud.Est Asiatique, des guerres locales
sanglantes font partie de cette accumulation.
......
Dans la dernière
période, deux faits ont encore aggravé la
situation :
-1) Issus du même
courant historique, la libération nationale
anti-américaine dans les années 60, le Vietnam
et le Kampuchéa (ex-Cambodge) s'affrontent
militairement.
-2) Deux Etats
socialistes, la Chine et l'Albanie, rompent toutes leurs
relations, et l'Albanie déchaîne une campagne
d'une violence sans précédent contre la
Chine.
...... Les révolutionnaires maoïstes
doivent examiner ce grand tumulte avec sang-froid, en
marxistes, et à la lumière de leur
expérience propre. L'époque de l'Etat-
socialiste guide et modèle, source de directives, est
complètement terminée. Nous comptons
entièrement sur nos propres forces, et nous en avons
les moyens.
...... L'origine des déchirements actuels est
à chercher, à notre avis, dans la
nouveauté de la situation: le risque de guerre
mondiale, et la question: "que faire ? " posée aux
Partis, aux prolétariats, aux peuples, aux pays, aux
Etats, par ce risque.
La question nationale, ce
grand sphinx de notre temps politique, redevient essentielle
POUR TOUS.
.........
Nous entreprenons dans " Le
Marxiste-Léniniste" une suite d'études et de
réflexions sur ces points :
......
a) La position des camarades
Albanais.
......
b) La ligne du Parti et de l'Etat
Chinois.
......
c) Les différentes forces
politiques en France face à la question de la guerre.
...... d) La ligne des maoïstes de
l'U.C.F:M.L.
La position
actuelle de l'Albanie
...... L'Albanie est un pays socialiste, qui a
toujours refusé de marchander son indépendance
nationale. Petit pays (2 millions d'habitants), l'Albanie
s'est opposé avec force et courage à toute
inféodation, à toute domination. Le peuple
Albanais a libéré, sur ses propres forces, son
pays des fascistes italiens et allemands dans les
années 41-44. En 1960, le P.T.A. (Parti du Travail
d'Albanie) n'a pas craint de s'opposer à Krouchtchev,
de défendre les principes, de rompre ses liens avec
l'URSS en dénonçant le
révisionnisme.
......
Avec la Chine, l'Albanie a
été très tôt un des seuls
États à reconnaître qu'il y avait
restauration du capitalisme en URSS et à
dénoncer le social-impérialisme
soviétique.
......
Pour toutes ces raisons, les
prises de position du PT A et de l'État Albanais sont
des éléments objectifs importants pour les
révolutionnaires marxistes-léninistes. Il faut
en faire l'histoire.
......
Depuis l'été 1978,
la rupture est complète entre la Chine et l'Albanie.
Le 10 Juillet 78, le comité central du PTA a
publié un document dans lequel il prend violemment
à partie l'État Chinois, qualifié de
"superpuissance" , le parti communiste Chinois,
qualifié d'anti-marxiste, de
contre-révolutionnaire, de fractionniste; la
Révolution Culturelle, considérée
"dans son esprit et dans son
action comme une lutte non conforme aux
principes".
......
Conformément à notre
méthode, qui est autonome, qui est celle de marxistes
révolutionnaires organisés en France, nous
donnons avec sérénité notre point de
vue sur ces thèses. Nous essayons d'en
découvrir le fondement réel. Nous n'avons pas
l'objectif d'être "pro-ceci" ou "pro-cela". Notre
terrain unique est celui de la révolution, du parti
de type nouveau, de l'internationalisme.
UN POINT DE DIVERGENCE
ANCIEN: LA NATURE DU RÉVISIONNISME
MODERNE.
...... Notre position a toujours été que
le grand point de référence quant à la
nature de classe du révisionnisme moderne et à
sa critique était la Révolution Culturelle. A
travers cette Révolution, le prolétariat et le
peuple Chinois ont mis à jour les raisons pour
lesquelles un État de dictature du prolétariat
peut se changer en son contraire (une dictature
social-fasciste).
......
Les camarades Albanais, eux, n'ont
toujours eu comme seul point de référence,
même quand ils soutenaient la Révolution
Culturelle, que la caractérisation datant de la
IIIème Internationale de ceux qui avaient
abandonné le projet de dictature du
prolétariat: les sociaux
démocrates.
......
Pour nous, et pour tous les
maoïstes, le révisionnisme moderne a des
caractéristiques propres, pose des problèmes
nouveaux. Ce n'est pas purement et simplement la
bourgeoisie, le capitalisme, l'impérialisme. C'est,
et il s'agit là d'un contenu pas simplement de mots:
la bourgeoisie bureaucratique d'État, le
social-fascisme, le social-impérialisme. Un contenu
dont la connaissance n'est pas encore complète, mais
dont le terrain de connaissance relève
déjà de formes nouvelles de la lutte
révolutionnaire de classe: les Révolutions
Culturelles.
...... Pour les Albanais, et cela sans variation, le
révisionnisme, c'est la social-démocratie.
Voyez en 1964 un article titré " Les
révisionnistes modernes sur la voie de la
dégénérescence social-démocrate
et de la fusion avec la social- démocratie" (sur le
20ème congrès du PCUS). Ou encore, en ce qui
concerne le PCF lors de son 22ème congrès de
76, la brochure intitulée "Un congrès
social-démocrate des révisionnistes
Français", texte dans lequel cette thèse est
développée: "En
lisant ce que dit Marchais, on croit entendre vraiment les
paroles de Bernstein, Kautsky et compagnie".
......
Si nous rappelons cette divergence
d'analyse (nouvelle bourgeoisie et social-fascisme pour
nous, social-démocratie pour les Albanais) c'est
qu'elle nous semble essentielle pour comprendre le conflit
qui éclate aujourd'hui si violemment, en tous cas en
ce qui concerne l'Albanie.
LA QUERELLE SUR LA
THÉORIE DES 3 MONDES.
...... Publiquement, ce n'est que lors du rapport
présenté au VIIème congrès du
Parti du Travail d'Albanie le 1er Novembre 1976, que le
camarade Enver Hodja prend position contre la théorie
des 3 mondes, donc contre l'analyse de la conjoncture
mondiale que fait le Parti Communiste Chinois:
"Second monde, tiers-monde,
pays non-alignés, pays en voie de
développement. Toutes ces appellations qui se
réfèrent aux diverses forces politiques
agissant aujourd'hui dans le monde camouflent et ne font pas
ressortir le caractère de classe de ces forces, les
contradictions fondamentales de notre époque, le
problème-clef qui prime aujourd'hui tous les autres
à l'échelle nationale et internationale, la
lutte implacable que livrent le monde
bourgeois-impérialiste d'une part et le socialisme,
le prolétariat mondial et ses alliés naturels
d'autre part"...
"Le marxisme-léninisme
nous enseigne qu'à notre époque, les pays se
divisent selon le système social au pouvoir, en pays
bourgeois-capitalistes et en pays socialistes. Les
théories sur la prétendue situation
intermédiaire de développement non-capitaliste
que les révisionnistes Krouchtcheviens mettent tant
de zèle à propager visent à saboter les
sincères aspirations au socialisme, qui existent dans
bon nombre de pays, à susciter la confusion
idéologique, à miner la lutte des forces
progressistes.(...) Les appellations de "tiers-monde" de
"pays non-alignés" ou "en voie de
développement" suscitent l'illusion dans de larges
masses qui luttent pour la libération nationale et
sociale, qu'elles pourraient trouver là comme un abri
contre la menace des super-puissances".
......
Il s'agit là d'une attaque
directe contre les positions du P.C.C.
...... En ce qui nous concerne, le fond du
débat n'est pas directement la défense et
illustration de la théorie des trois mondes. La
logique de la position du PTA est plus
vaste.
......
Le PTA n'envisage la
théorie des trois mondes que dans le cadre
général d'analyse qui est le sien: il y a deux
camps, l'impérialisme et le socialisme. Les ennemis
des peuples sont "l'impérialisme, le
social-impérialisme et la grande bourgeoisie
internationale qui suivent UNE politique (donc la
même. NDLR) d'expansion et d'exploitation" ou encore :
"Aujourd'hui, comme par le passé, la lutte
conséquente et continue pour dénoncer la
politique de l'impérialisme, l'impérialisme
américain en tête et anéantir ses plans
agressifs.. ". (c'est nous qui
soulignons).
......
Dans ce cadre là, la
théorie des 3 mondes peut tout au plus comme le dit
Enver Hodja "indiquer la mesure
de l'influence et de la force du capital mondial,
international ou national dans divers États et dans
diverses zones du monde".
...... Pour les Albanais, il existe un capitalisme
mondial indifférencié contre lequel
évidemment tout "front anti-impérialiste"
devient impensable.
QUI CONTRE QUI ?
...... L'analyse Albanaise de la situation mondiale
est greffée sur sa compréhension restrictive
de la nature du social-impérialisme. Pour le PTA, le
social-impérialisme n'est pas une nouveauté
historique dans la sphère de l'impérialisme
comme l'a été par exemple le nazisme. L'URSS
est un État impérialiste comme les autres. Il
n'y a pas, dans les rivalités des deux
super-puissances, d'ennemie principale. L'Albanie refuse
l'idée que la puissance qui aujourd'hui veut
transformer "l'équilibre" existant, c'est l'URSS.
......
Mieux: le PTA continue à
considérer les USA comme le chef de file
impérialiste, ne bougeant pas d'un pouce par rapport
aux analyses dépassées de la conjoncture des
années 60.
......
La question: guerre ou pas guerre
mondiale, superpuissance ou pas, là-dessus Chinois et
Albanais sont d'accord. Le danger de guerre existe du fait
des super-puissances. Mais sur le type de guerre il y a
désaccord. Les Albanais envisagent la 3ème
guerre mondiale sur le modèle de la 1ère
guerre mondiale de 1914-1918. La 3ème guerre mondiale
serait une guerre inter-impérialiste,
symétrique à la 1ère, qui ne concerne
pas le prolétariat.
......
Dès à
présent, l'Albanie se prépare à la
neutralité . "Neutralité" dont tout indique
qu'elle s'étendra -ce qui est grave -au cas d'une
agression de l'URSS contre la Chine, puisque la Chine est
déjà qualifiée comme une
"super-puissance impérialiste".
UNE POLITIQUE ABSTRAITE ET
IDÉALISTE.
...... Le danger de guerre est réel. Les
superpuissances se préparent pour une guerre
mondiale. Jusque là pas de désaccord. Mais
quelle va être la position des États
socialistes dans cette affaire ? A cette question l'Albanie
répond qu'il s'agira d'une guerre
inter-impérialiste et qu'elle ne nous concerne pas:
il n'y a rien à faire pour enrayer la guerre, rien
à faire dans la guerre. Notre tâche est de
préserver la révolution, de la continuer. Il
n'y a pas à choisir entre les impérialismes,
la guerre est leur politique, pas la notre.
...... Il s'agit là d'une attitude
idéaliste car qui respectera cette neutralité
et à quel prix ? Ne voit-on pas déjà
aujourd'hui l' Albanie soutenir le Vietnam contre le
Cambodge ? Comment expliquer ce geste sinon comme une
monnaie d'échange vis-à-vis de l'URSS ? Qui
applaudit le plus fort ( car il y en a d'autres aussi)
lorsque l'Albanie attribue à la Chine le qualificatif
de superpuissance la plus dangereuse, sinon l'URSS
?
......
Une "neutralité" en Europe
de l'Ouest signifierait nécessairement: 10% de
"neutralité", 90% de dépendance par rapport
à Moscou.
...... Face aux appétits militaristes de
l'URSS, face au colonialisme fasciste qu'elle impose
déjà aux pays de l'Europe de l'Est, le
prolétariat et le peuple auront nécessairement
à définir leur ligne de résistance, et
à assumer la question nationale. Il en ira de
même face à l'agression de n'importe quelle
puissance prétendant à
l'hégémonie.
......
Les camarades Albanais n'accordent
en fait aucune place à la question nationale au
regard du risque de guerre et d'agression. Il en
résulte déjà que des groupes
notoirement néo-trotskystes, comme l'UDP au Portugal
ou l'OCT en France, s'emparent de cette faiblesse pour
utiliser à leur profit les thèses des
Albanais.
ÉTAT ET
PARTI.
...... La position de "neutralité" qui
sous-tend la polémique des Albanais est certainement
liée à des considérations
géopolitiques (comme l'est du reste, à notre
avis,. toute une partie de la politique de l'État
Chinois) Il y aurait moindre mal si les Albanais limitaient
leur politique à cet aspect des choses.
Malheureusement -comme les Chinois -ils prétendent
faire de leurs thèses une "ligne
générale" pour le mouvement communiste
international. Le PTA lance des directives au
prolétariat mondial (il le faisait déjà
en 1974, en poussant en particulier les ouvriers
révolutionnaires français dans l'impasse du
syndicalisme): il affirme que le prolétariat ne doit
pas se mêler d'une guerre inter-impérialiste.
Il doit simplement profiter des circonstances pour pratiquer
tous azimuths sa politique contre le "féroce
capitalisme mondial".
......
Certes, il appartient aux
révolutionnaires, dans la mesure où la guerre
ne peut être conjurée, de la transformer en
révolution. Mais justement, pour ce faire, il faut
prendre en compte le fait que les peuples dans la guerre
auront à assumer la question nationale et que la
question de l'envahisseur sera décisive en ce qui
concerne les alliances.
...... Sur la question de la guerre, le
prolétariat ne peut se contenter d'une attitude
passive. En la matière, le pacifisme est la garantie
du désastre. Quand le PCF, au tout début de la
guerre de 39-45 a refusé de prendre la tête de
la résistance à l'envahisseur nazi, il a
commis une faute dramatique, chèrement payée
par la suite, malgré l'héroïsme des FTP.
Laisser à De Gaulle le soin d'incarner la
résistance, c'était laisser une chance
à la bourgeoisie, massivement capitularde, de se
reconstituer .
......
Avoir une attitude offensive,
c'est être capable de prendre en compte la question
nationale, savoir s'inscrire dans le rapport de force et non
refuser la guerre. Guerre et révolution, dans les
moments de guerre, ne peuvent être
séparées. Et ceci d'autant plus qu'on peut
fortement douter de la capacité des bourgeoisies
européennes à assumer la question
nationale.
VERS LE RENVERSEMENT
D'ALLIANCES ?
...... L'analyse des Albanais repose, à notre
avis, sur l'idée qu'en définitive des
alliances seront toujours possibles avec les
prétendus "sociaux-démocrates" tant au niveau
de l'État Albanais qu'au niveau des partis
marxistes-léninistes. Et c'est là d'ailleurs
que leur position est la plus insoutenable. Ce n'est pas un
hasard si les "partis" qu'ils ont rallié à
leur cause sont tous des appendices des partis
révisionnistes, ou des groupuscules
néo-révisionnistes.
...... C'est dans cette même logique -garder les
mains libres pour un renversement d'alliance -que les
Albanais ont refusé la politique d'alliance militaire
avec la Yougoslavie et la Roumanie proposée par
Chou-En-Laï. Or, cette politique était à
notre avis tout à fait sensée: la Roumanie et
la Yougoslavie s'étaient opposées à
l'intervention russe en Tchécoslovaquie. Tenter
d'édifier entre les 3 États un bloc balkanique
défensif (ce qui n'exigeait aucune concession
idéologique) aurait inscrit l'Albanie dans le jeu des
rapports de force mondiaux, avec une marge de manoeuvre
beaucoup plus grande. Le superbe isolement actuel peut en
revanche préparer la soumission aux
hégémonies régionales, sans aucune
prise sur la situation.
LE REFUS DU MAOISME CONDUIT
A TERME A LA REGRESSION POLITIQUE.
...... En dernier ressort, cette méconnaissance
du social-fascisme russe, tient au fait que non seulement le
PTA a peu contribué à la connaissance de ce
qu'était le révisionnisme moderne, mais qu'en
outre il a nié tous les enseignements de la grande
Révolution Culturelle prolétarienne.
D'après les Albanais, le socialisme était en
danger et "sur la demande de
Mao-tsé-Toung lui-même, notre parti appuya la
Révolution Culturelle"
"bien qu'il ne fut pas d'accord
sur nombre de principes qui étaient à la base
de cette révolution".
......
Situation "compliquée et chaotique, résultat
logique des luttes fractionnistes qui ont eu lieu au sein du
PCC, contrairement aux principes" Voilà tout ce que le PTA retient de la
grande révolution prolétarienne de notre
temps.
......
Qu'il y ait lutte de classe au
sein du Parti est inconcevable pour les Albanais. C'est pour
eux un signe qu'il ne s'agit pas d'un parti
prolétarien, mais petit-bourgeois ou
militariste.
......
Qu'il y ait révolution dans
un pays socialiste, c'est tout aussi inconcevable. C'est de
l'anarchie. Malheureusement, c'est déjà ce que
disaient les russes.
......
Cette négation de la lutte
entre les deux voies, et de sa forme concentrée, la
révolution culturelle, fait du PTA un parti à
tout le moins retardataire. Mais en politique marxiste, le
retard c'est, à terme, la régression. S'il
persiste à rejeter le maoïsme, le PTA se
condamne à errer de plus en plus.
......
Quelque soit l'appréciation
que l'on porte sur la politique chinoise aujourd'hui, ne pas
reconnaître que la GRCP fut un moment décisif
pour les marxistes-léninistes du monde entier,
notamment en ce qui concerne le problème de la
restauration du capitalisme dans un pays socialiste et la
lutte pour le communisme, c'est se mettre hors de
l'histoire.
......
Toute politique qui ne tient pas
compte de cette nouveauté historique dans son analyse
de la conjoncture mondiale, n'est plus une politique mais du
dogmatisme, de l'idéalisme. Elle s'interdit d'agir
sur autre chose que les forces sociales et Étatiques
qui sont en son sein, en les coupant des courants
historiques réels.
...... Voilà pourquoi nous pensons que la
position actuelle des Albanais fait plus de mal que de bien
aux marxistes-léninistes et aux
révolutionnaires du monde entier. Voilà
pourquoi nous sommes contre. Si la scission du mouvement
communiste international en 63 a posé de nombreux
problèmes, nous pensons que la polémique
actuelle des Albanais, et la "théorie" fausse et
arriérée qui les accompagne, sont parfaitement
nuisibles, et entraveront l'avancée des forces
révolutionnaires.
...... Toutefois, le peuple Albanais et les
communistes Albanais ont montré à maintes
reprises leur détermination et leur lucidité.
Ils peuvent fort bien reconnaître l'impasse et nous
étonner à nouveau.
PETITE BIBLIOGRAPHIE :
-Enver Hodja: "Rapport
présenté au VIlème congrès du
PTA" (NBE) -"Lettre du Comité Central du PTA et du
gouvernement Albanais au CC du PCC et au gouvernement
Chinois" Juillet 78.
-"La politique belliciste Chinoise et
la visite de Houa Kouo Feng dans les Balkans" 3 Septembre
1078,
-"Déclaration des Partis
Marxistes-Léninistes d'Europe" (NBE)
|